Éditions Amaterra

Éditions Amaterra

Éditions Amaterra

Éditions Amaterra – Littérature jeunesse
Créée en 2012, Amaterra est une maison d’édition indépendante, spécialisée jeunesse.

Les livres Amaterra
Des ouvrages qui surprennent les jeunes lecteurs, qui éveillent leur curiosité, que ce soit en explorant les possibilités techniques du papier (découpes, volets, encres spéciales…) ou simplement en abordant les thèmes sous un angle original.

La philosophie de la maison d’édition
Créer pour partager

LE GRAND DÉPART
Hors collection
Sylvain Lamy
15,90 €

Meilleur album de l’année pour les tout-petits : Prix Pitchou 2021 décerné par la Fête du livre jeunesse à Saint-Paul-Trois-Châteaux

VROUM ! C’est le grand départ ! En route !
Un album sans texte mais avec des lettres !
Les lettres V, R, O, U et M se combinent et s’associent pour créer des bolides plus sonores les uns que les autres.
Un carambolage, des travaux, un pont, un tunnel rythment leur parcours.
Puis, l’arrivée de la nuit…

Guy Chrétien

Guy Chrétien

Guy Chrétien

Je m’appelle Guy Chrétien, je suis écrivain dans le domaine de la Fantasy.

Ancien ouvrier Michelin, c’est à l’approche de la retraite que j’ai sorti mon premier roman, encouragé par une amie illustratrice dans cet univers.

Mes histoires ne s’adressent pas aux tous petits, mais mes lecteurs vont de 10 ans à pas de limites.

J’aime mélanger dans mes récits des moments de vraie féerie avec des lieux réels, parfois des moments de la vraie histoire de notre pays, des rencontres avec des personnages célèbres , ceci afin que mes lecteurs ne sachent plus où se situe la limite de mon imaginaire et du réel.

Le commentaire le plus récurent de mes lecteurs est que mes histoires permettent de rêver , de s’évader de notre monde actuel.

Je suis également conteur, depuis quelques temps, même si la crise a freiné cette nouvelle vocation , et c’est pourquoi j’ai aussi à mon actif un livre de contes.

Etienne Moulron

Etienne Moulron

Etienne Moulron

· 72 ans, né en Belgique, a travaillé plus de 35 ans dans le secteur de la librairie et de l’édition ( Gallimard et Flammarion: Benelux/Maghreb/Suisse/France)
· Co fondateur du village du livre de Cuisery créé en 1999 et président durant plusieurs années.
· Créateur de l’association ʺ La Maison du Rire et de l’Humour ʺ, à Cluny.
· Auteur des livres « L’Humour Attitude, Petit Traité de Savoir-Rire en attendant la mort », du
« Petit éloge de l’Humour et du Savoir-Rire en attendant la mort» de « Histoire passionnée de la Frite », de « Quand on n’a que L’Humour : L’humour face au handicap ! » et de « Leo Campion, l’Anartiste fraternel »
· Fondateur du « Centre d‘information, de documentation et de recherches sur l’Humour Michel Froidevaux » de Cluny
• Ce centre aura une activité et une fonction de bibliothèque classique et sera un lieu de conservation d’un patrimoine culturel essentiel.
• Ce centre se voudra également être un lieu de réflexion, d’animation et de partage autour de l’humour dans toutes ses expressions, ses mécanismes et ses différents types ainsi qu’en ses nombreux champs d’investigation .
• Divers séminaires, colloques et réunions seront organisés sur ce thème
• Il s’y développera une activité d’édition lié à l’humour, de rééditions et de promotion autour de celles-ci
• Nous publierons une revue bimestrielle entièrement consacrée à ce thème intitulée «L’Humour, c’est comme les essuie-glaces, ça n’empêche pas la pluie mais ça permet d’avancer !»
• Seront organisées diverses manifestations culturelles et littéraires ainsi que son « Prix de l’humour de résistance »
En témoignant ainsi de notre intention d’apporter à de Cluny et à sa communauté de communes un bel écho culturel et médiatique en étant la seule bibliothèque en francophonie consacrée et entièrement dédiée à l’humour.

Pourtant – Revue

Pourtant – Revue

Pourtant-Revue

Revue de création et de rencontre littéraire et photographique, Pourtant écaille les coquilles de nos existences :
« la naissance, la grossesse, la souffrance, le meurtre, le couple, la mort, la révolte et peut-être le baiser », Picasso

Humaine
L’écriture de fiction, la poésie, la photographie, en croisant sensibilité personnelle et travail artistique, sont des outils d’exploration en eau profonde de l’humain. C’est le projet de la revue Pourtant, avec le plaisir de bonnes histoires, le vent des poèmes, le grain et le piqué de l’argentique, la labilité du numérique. Chaque numéro explore un rayon de notre commun à travers un thème :
« Naissances », « Dans la cuisine », « Passions », « Je mens », « Sauvage ? »…

Ouverte
Chaque numéro rassemble textes et photographies :
• issus d’un appel public avec sélection par notre comité de lecture, avec anonymisation des œuvres ;
• d’artistes invités comme Emmanuelle Favier, Paola Pigani, René Frégni, Franck Bouysse, Pascal Dessaint, Béatrice Libert.

Festive et nomade
Pourtant s’exprime dans des festivals, librairies, galeries, lieux culturels, dans des performances, des mises en scène, en voix, autour de ses autrices, auteurs, photographes, lectrices, lecteurs et futurs lecteurs.

Un bel objet
Le choix du papier pour échanger, traverser le temps, pour le bonheur des mains et des yeux, pour valoriser la photographie et les photographes.
La maquette est composée par Mathilde Dubois, graphiste de talent, pour le livre et sa version tablette et liseuse.
Format : 17×22 sur papier 120 grammes issu de forêts durables
148 à 170 pages couleur.

Hybride, en papier et numérique
Le choix du web et des réseaux sociaux pour créer en direct, particulièrement durant des événements éphémères et des performances en ligne. Un hors-série « Pandémie » a été tiré de nos « Vols de nuit », temps de création collectif en direct sur Internet durant le confinement et les couvre-feux.

www.pourtant.fr

Jacques Lechat

Jacques Lechat

Jacques Lechat

Belge, né à Liège en 1949, il aime l’Histoire et les «petites histoires» qui permettent de connaître et comprendre la vie quotidienne de nos ancêtres à toutes les époques. L’Histoire se voit, se comprend et se vit au travers des yeux de personnages en chair et en os. Le douzième siècle est très romanesque et plein de rebondissements historiques que l’imagination de l’écrivain ne doit guère améliorer. Cette saga vogue au fil de l’eau de l’Histoire.

La saga du Gué d’Aynard : tomes 1 et 2
L’épée de Brancion et L’or de la grande église de Cluny

L’histoire dans l’histoire :
Cette saga est l’histoire d’un forgeron qui a vécu sur les terres de la fameuse abbaye de Cluny au début du douzième siècle. Pierrick, fils de forgeron raconte à la fin de sa vie, ses nombreuses aventures dans une période très particulière du Moyen-Âge que certains ont appelé la petite renaissance. Partout en Europe, la vie économique et culturelle se développe et des églises, des abbayes, des bourgs et des châteaux forts sont construits.

Cluny, fondée au dixième siècle, est d’abord une abbaye avec quelques habitations construites hors les murs dans cette belle vallée du Sud de la Bourgogne. Le bourg se développe progressivement grâce à l’activité générée par l’abbaye dont le culte des morts lui permet de recevoir des dons en terre ou en or.

Un héros :
Au travers des aventures d’un jeune forgeron habitant à Aynard, village aujourd’hui disparu, l’auteur nous fait découvrir la vie quotidienne au début du douzième siècle. Pierrick, le héros au service du grand-prieur voyage aussi sur les routes de Barcelone, Valence et plus tard de Rome et Jérusalem. La plupart des personnages rencontrés par Pierrick ont réellement existé. La trame de ses aventures est basée sur des faits historiques relatés par des témoins de l’époque et étudiés depuis des siècles par de très nombreux historiens.

Robert Viprey

Robert Viprey

Robert Viprey

Robert VIPREY est né en 1952 à Besançon. En 1975, il a émigré vers la région lyonnaise où il vit toujours.
Bien qu’étant entré dans la vie active à 17 ans, il a soutenu en 1995 une thèse dans la matière juridique, « Les droits des élèves dans l’enseignement primaire et secondaire en France » (édité par l’ANRT).
Il est également titulaire d’un Master 2 en Cinéma et production audiovisuelle décerné par l’Université Lyon II.

La parenthèse et autres chroniques du confinement : Bien plus que le virus et la crainte occasionnée par le risque de sa propagation, c’est le confinement et ses conséquences, réelles et supposées, qui constituent la trame des histoires ici racontées. Brigitte, une femme veuve, seule dans sa grande maison sans pouvoir recevoir les siens, se retrouve face à ses souvenirs. Un homme et une femme, attirés l’un par l’autre, ne peuvent ni se sourire, ni se toucher, ni se rapprocher, mais veulent pourtant se rencontrer. Et bien d’autres histoires…

La divorceuse : Charles n’est pas amoureux de son épouse, il en est totalement imprégné. Aussi, lorsque celle-ci lui annonce son intention de divorcer, commence pour lui le long chemin qui le mènera à la séparation sentimentale, civile et patrimoniale. Il ne sera pas malheureux ; mais il aura de plus en plus la conviction qu’il ne connaîtra plus jamais la même vie.

Le temps d’un départ : Une adolescence post soixante-huitarde. Le personnage a 21 ans en 1973. Il se souvient, lors des 5 années précédentes, notamment de sa découverte des jeunes filles puis celle des femmes, de son apprentissage professionnel à sa rencontre avec les réalités sociales et politiques menant à un conflit en 1973 dans la manufacture horlogère qui l’emploie. Ce livre se veut une métaphore sur le passage de l’adolescence à l’âge adulte.

Une mise en abyme : L’histoire de l’écriture d’un livre, doublée de celle du prête plume.
« C’est ainsi qu’elle fut atteinte du virus de l’écriture. Ce mal, généralement, se dissimule dans des lieux propres à la lecture tels que les bibliothèques, prenant sourdement possession des intéressés pour finalement complètement se saisir de leur esprit. Les principaux symptômes tiennent à une envie irrépressible de rédiger. Le virus peut s’endormir plusieurs années, voire des décennies, pour un jour de relative inaction se réveiller tout-à-coup ».
Martien accepte d’aider Paul à rédiger le livre qu’il dit avoir en tête, mais elle ira de désillusion en désillusion. Qu’importe, elle saura finalement tirer son épingle du jeu.